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Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga]

Aoi Tsuki
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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MessageSujet: Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga]
Hime & Taiga & Aoi
Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre !
Soleil levé depuis un moment maintenant. Rayons de soleil qui réchauffe ce corps d’athlète. Ton corps bouge d’un mouvement régulier. Pieds se levant l’un après l’autre afin de te permettre de te déplacer. Tous les muscles de ton corps travaillent en harmonie pour que ta silhouette se propulse dans une course dynamique. Activité physique nécessaire à ta santé physique mais également morale. Ce sport te dépense physiquement, mais il t’aide à t’échapper de ta vie étudiante. Échappatoire agréable afin de laisser de côté la science, merveilleuse discipline qui t’intrigue sans limite, mais qui demande énormément de concentration et de patience. Mais tu n’es pas seul au monde lors de cette course, il y a une charmante jeune femme qui t’accompagne. Décision prise dès votre première rencontre. Vous vouliez à nouveau courir l’un avec l’autre après l’épisode de la bouteille d’eau. Un passage inoubliable à tes yeux, événements déclencheur d’un grand bouleversement dans ta vie. Changement intense et radical. Homme inaccessible depuis de nombreuses années. Comment le séducteur d’Hinodai a-t-il pu devenir un homme casé ? Ironie du sort ! Nouveauté qui bouleverse l’équilibre de ton quotidien. Il y a de nombreuses interdictions qui ont vu le jour depuis qu’Hime Watanabe est devenue ta petite amie… Frustration. Pourtant, ton cœur n’a jamais été aussi calme et heureux que depuis ta rencontre avec la jeune étudiante en langue.

Tête se tournant vers l’élue ayant réussi cette prouesse. La seule et unique ayant atteint ton cœur de glace protégé par diverses protections. Un sourire toujours aussi charmant et séducteur malgré la sueur dégoulinant sur ton front, sur ton corps entier à cause de la chaleur et de l’effort fourni. Allure ajustée à ta partenaire. Vous courez depuis combien de temps ? Tu n’en sais rien. Vous vous êtes donné rendez-vous au parc afin de faire un footing à deux. Idée géniale. Une bonne ambiance malgré le peu de discussion afin de ne pas s’essouffler inutilement. Légère concentration afin de ne pas trébucher, cela serait gênant pour un séducteur de ton niveau. Le ridicule ne tue pas, mais tu ne veux pas avoir la honte bien que tu sois presque sûr que vous éclateriez de rire.

Un dernier virage et vous arrivez à un point d’eau. Une pause s’impose, rythme de plus en plus lent jusqu’à ce que ta silhouette s’arrête. Tes mains touchent tes genoux quelques secondes alors qu’un sourire envahit ton visage. Léger rire. Tu te rappelles de cet endroit. Vous êtes proche du coin où tu as abordé la demoiselle pour la première fois ! Lieu mythique.

« Cette fois, je n’ai pas oublié l’eau ! » Un regard complice en direction d’Hime avant que tes bras ne bougent afin d’apporter ton sac à dos devant toi. Main attrapant une bouteille d’eau pour que ce précieux liquide vienne t’hydrater. Libération. Fraicheur. Un son représentant ta satisfaction. Main tendant l’objet miracle. « Mademoiselle ! Vous avez besoin d’être sauvé ?! » Un véritable pitre. Tu rigoles car tu es amusé. Drague ? La fatigue ne se fait absolument pas ressentir. Pourtant, ton tee-shirt de sport est trempé dans le dos reflétant les efforts réalisés sous le soleil tapant. Il fait chaud ! Ta tenue d’été se compose d’un short et d’un débardeur afin de mettre en valeur tes belles épaules de volleyeur. Tenue légère mais insuffisante pour te faire oublier la température actuelle. Soudainement, ton regard est plus doux et ton sourire moins taquin. Tu t’approches de la demoiselle avec une intention bien particulière. Distance anéantie. Ta main s’approche de son visage afin de l’effleurer. « Est-ce que ça va ? Tu n’es pas trop fatigué ? Tu n’as pas trop chaud ? » Main se déplaçant sur le front de la femme concernée. Ta seconde main retire la casquette noire se trouvant sur ta tête afin de te protéger du soleil. Cheveux à l’air libre. « Tu veux peut-être la porter comme à notre première course dans ce parc ? » Gentleman. Séducteur dans l’âme. Il y a de la sincérité dans cette gentille attention. Regard légèrement dévié vers un coureur qui ne t’est pas un inconnu au contraire…



Dernière édition par Aoi Tsuki le Jeu 5 Aoû - 18:41, édité 1 fois
Aoi Tsuki
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Hime Watanabe
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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MessageSujet: Re: Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga]
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Ft. Aoi Tsuki & Taiga Serizawa
Corps se mouvant à travers l'immense parc, noyé dans la chaleur de ce début d'été. Pas suivant le chemin qui s'étend devant toi, au-delà de ta vision, espace qui semble presque infini. Ton rythme est régulier, plus rapide qu'il a quelques mois, signe que ton corps retrouve peu à peu la forme qu'il avait autrefois. Évolution visible, souffle qui ne s'est pas encore épuisé. Tu n'es pas une débutant en sport Hime, ça se ressent, se voit. Enveloppe corporelle régulièrement travaillée dans son intégralité lorsqu'elle est plongée dans l'eau. Course t'aidant à garder la forme, à te vider la tête, à te mettre bien pour le reste de la journée. Excuse parfaite pour passer du temps avec ton  partenaire de sport préféré ? Non, tu n'as pas besoin d'excuses. Il te suffit de demander, de t'imposer. C'est en revanche un excellent point commun à partager avec ton nouveau petit ami. Engagement fait le jour de votre rencontre, quand tout à commencé. Promesse, le jour où vous vous êtes mis ensemble, désir exprimé par le brun. Vous aviez une occasion en or que vous ne pouviez que saisir. Proposition glissée entre deux messages la veille, avant que les bras de Morphée viennent t'étreindre, épuisée par ta journée.

《 On fait une pause ? 》 Simple précaution. Tu ne veux pas trop te pousser non plus. Mais surtout, tu as soif, corps réclamant plus d'eau que d'ordinaire à cause de la chaleur et de l'effort. Pas qui ralentissent jusqu'à l'arrêt complet, là où tu as l'habitude de te ressourcer. Mais pas que, n'est-ce pas ? Souffle plus calme, plus régulier. Aux mots de ton partenaire, tes lèvres se tirent en un sourire à la fois amusé et complice. 《 Tu étais à sec surtout. Heureusement que je suis trop gentille. 》 Tu te souviens ? Tu as dû acheter une nouvelle bouteille pour finir ta course en toute tranquillité. Il n'y a vraiment que toi pour céder ce qu'il te reste d'eau à un inconnu.  《 Je ne vois pas de quoi vous parlez... 》 Sourire amusé alors que tu tends la main pour saisir la bouteille d'eau qui t'est offerte, liquide coulant dans ta gorge pour t'hydrater.

Le soleil est au rendez-vous malgré l'heure. Tu as beau t'être habillée léger, tu sens tout de même la chaleur envahir ton corps. Mais ça reste supportable... Des projets après ce footing ? Une bonne douche pour te sentir encore mieux dans ta peau. Tu sais ce que cela veut dire, Hime, selon la situation ? Bien sûr que tu le sais.

Question à laquelle tu ne réfléchis pas.  《 Oui ne t'en fais pas. J'ai un peu chaud mais c'est normal. Je tiens le coup. 》 Tu lui adresses un sourire qui se veut rassurant. Tu as l'habitude qu'on se soucie de toi. À cause de ton corps d'apparence si fragile. À cause de ta douce peau si facilement marquée. Parce que tu es toujours plus soucieuse quand il s'agit des autres, t'oubliant presque certains jours. Tracas qui te confirment que ceux qui en font trop ne te connaissent pas assez, contrairement à ce qu'ils aiment prétendre. En quoi est-ce différent avec Aoi ? La différence, c'est que tu sais qu'il te connaît, Hime. Du moins, il sait ce qu'il en est réellement, car tu lui as parlé de choses  que seuls tes plus proches amis savent. Son inquiétude est donc plus légitime, plus sincère. 《 Je ne me suis pas encore transformée en écrevisse. 》 Moue boudeuse. C'est vrai. Tes joues sont juste légèrement rouges à cause de l'effort et de la chaleur mais sans plus. Mais tu te portes bien. Même très bien. D'autant plus que tu as appliqué une crème pour protéger ta peau du soleil. Cela dit... 《 Ça ira pour le moment, merci. Je sais que tu préfères éviter que je me tape une insolation mais je te rappelle que tu es autant à risque que moi. Enfin, à notre âge ça devrait aller... 》 Tu lui offres  un nouveau sourire rassurant.

Ton regard suit le sien pour tomber sur un autre coureur. Rien d'alarmant mais... 《 Tu le connais ? 》 Étrange impression envahissant ton corps.
 
© Belzébuth



Hime Watanabe
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Taiga Serizawa
Admin fou et sadique qui ne veut pas de ton bien

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feat. Hime Watanabe & Aoi Tsuki
Une habitude que tu as pris depuis ton plus jeune âge. La colère qui t'a toujours monté après les appels de ton infernal père et de ses mêmes discours qui te font fumer les oreilles, tu la canalises en transpirant. Mais attention, pas de la façon dont vous pensez mes agneaux. En baisant bien sûr. Tu arrives toujours à te trouver un larbin - un minimum mignon - pour déchaîner ta colère sur lui. Et franchement, rien à foutre si tu le brises. Tu peux en trouver un autre plus solide que celui-là. Le sport de chambre, c'est ce qui te détend le plus, c'est vrai. Mais pour une raison que tu ignores, tu n'as pas envie de tremper le biscuit là maintenant tout de suite. Serais-tu en train de devenir plus mature ? Non, tu as simplement la flemme et clairement, tu préfères aller courir et te dépenser de cette façon. Qui sait, tu trouveras peut-être un petit agneau fragile à défoncer plus tard.

Soleil tapant. Muscle luisant aux rayons de ce dernier. Tu entames ta course par un tour du grand parc Ueno. Tu as préféré t'habiller léger ; ton short de basket noir, une casquette, des Air Max et ton débardeur noir retiré, que tu as soigneusement accroché à ton short, le laissant pendre au niveau de ta cuisse.

Tu as toujours préféré courir seul, mais tu as toujours eu cette habitude de ramener deux de tes soi-disant potes pour t'accompagner. Enfin.. Te servir plutôt. Ils sont là pour te donner de l'eau lorsque tu en as besoin. Là pour garder ton téléphone puisque tu ne t'en sers pas lorsque tu cours, préférant écouter ce qui t'entoure.

Une fois que tu as fait tes trois tours du parc, ce qui est très long il faut le dire puisqu'il est vraiment immense, tu diminues ton pas jusqu'à t'arrêter complètement au niveau de tes deux potes, assis sur un banc en train de mater les gonzesses qui passent. En sueur, tu retires ta casquette, prends la bouteille d'eau fraiche, en boit quelques gorgées et vient te la vider sur la tête. Cheveux mouillés. Mèches tombantes sur ton regard d'ambre. Corps luisant. Muscles tracés. Veines ressorties.

Alors que tu viens secouer ta tête pour enlever le surplus d'eau de tes cheveux, ton regard divague sur un jeune homme accompagné d'une jeune femme. Au loin. Tu le remarques. Et à son visage, un sourire se dessine sur tes lèvres. Mais qu'est-ce qu'il fou là ? Instinctivement tu donnes la bouteille vide et ta casquette à ton pote qui reste sur le banc. Tu t'avances, main dans la poche de ton short, l'autre derrière ton crâne, secouant tes cheveux pour pouvoir les sécher plus rapidement. « Si je m'attendais à te voir ici. » Une fois avoir secouer ta chevelure tu viens lui donner une bonne tape dans son dos, légèrement violente pour qu'il puisse la sentir. « Ça fait un bail que je ne t'ai pas vu. Même pas un petit message. Serais-tu en train de me fuir ? » Un sourire forcé se dessine sur ton visage.

Il faut savoir que tu as eu quelque chose de très particulier avec lui. Ton ami, Aoi, avec qui tu as passé des nuits torrides. Que dis-je, des journées, des matinées ! Et en l'espace de quelques jours, semaines, tu n'as pas réellement compté, il a fini par s'éloigner de toi, t'ignorant complètement. Le connard. Ne donnant plus aucun signe de vie alors que vous êtes quand même dans la même université. Il était vraiment occupé à ce point ? Non, impossible. Il y avait anguille sous roche.

Ton regard se fait alors plus insistant sur la demoiselle qui était à ses côtés. Tu hausses un sourcil, légèrement perplexe. « Oh. Tu préfères t'amuser avec ton nouveau jouet ? » Une once d'agressivité dans ta voix.

Taiga Serizawa
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Aoi Tsuki
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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Hime & Taiga & Aoi
Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre !

C’était l’heure d’une petite pause afin de vous réhydrater. C’est vital pour votre corps à l’un comme à l’autre. Un moment de complicité, de partage qui vous rappelle vote première rencontre. Un moment de sauvetage épique ! Tu étais en besoin urgent d’eau afin de survivre à une température beaucoup trop élevée pour toi. Elle est gentille, tu en as conscience. C’est l’ange et toi le démon dans cette histoire ! « C’est vrai que tu es gentille, c’est ce qui me plait chez toi ainsi que ton côté dictatrice » Quel charmeur. Tu la regardes avec sincérité bien qu’un brin amusé. Enfin, l’amusement à une fin quand tu deviens plus sérieux à son sujet, tu ne veux pas qu’elle attrape une insolation. Tu sais qu’elle n’est pas fragile, mais c’est ton côté protecteur enfuis depuis bien trop longtemps qui réapparaît et ce côté mignon, séducteur que tu t’es collé comme masque. Les femmes aiment les hommes attentionnés, c’est ta manière de les faire tomber à tes pieds pour mieux les rejeter par la suite, mais tu n’as pas cette malveillance en toi lorsque tu t’adresses à ta petite copine. Elle te rassure immédiatement, pourtant, tu le sais qu’elle n’est pas une petite chose fragile… N’est-ce pas ? Oui. « Tu es sûre de toi ? » Légère pause insistante. Sérieux. « Tu es tout de même très rouge » Inquiétude apparaissant sur ton visage d’ange. Tu es un manipulateur hors pair. « Tu commences à te rapprocher des écrevisses ! » Un rire, tu ne tiens plus avant de rigoler après l’avoir taquiné. Tu es vraiment invivable comme garçon et elle n’a pas encore tout vu, mais cela ne serait tarder.

Vous êtes loin d’un de vos moments de froideur, aujourd’hui, c’est la joie et la bonne humeur qui règne. Tu te retrouves avec ta casquette en main, elle n’en veut pas ? Non. Le problème, c’est que tu es le dominant dans ce couple, alors, ta casquette termine sur la tête de la demoiselle. « Elle te va comme un gant, tu es sexy ! » Un sourire amusé, sincère avant que ton regard ne dévie pour regarder une autre créature que tu connais par cœur…

Qu’est-ce qu’il fiche dans le coin ? Évidemment, Hime t’interroge. C’est une observatrice.

« C’est un ami de longue date… On se connaît par cœur ! » Ta voix semble être joyeuse, sincère.

On peut facilement lire sur ton visage qu’il est important à tes yeux. Il faut dire qu’il est présent dans ta vie depuis ta pire période. Il sait des choses très importantes à ton sujet. Misère. Il s’approche de vous deux, les ennuis vont commencer ? Il joue dans la même cour que toi. C’est un séducteur, un dominateur, un manipulateur dans l’âme qui adore s’amuser avec des jouets comme toi. Pourtant, tu redoutes cet échange. Il n’est pas fréquentable, il ne plaira pas à Hime. Elle ne risque rien et encore moins à tes côtés. Ici, c’est toi qui es en danger, mais tu vas vite le comprendre.

Le requin arrive avec une allure qui t’aurait bien donné des envies, si tu n’avais pas été en couple avec la demoiselle à tes côtés. Tu connais bien ses abdominaux… Concentration ! Tu le regardes avec un sourire joyeux alors qu’il vient te saluer en frappant ton dos avec une certaine violence.

« Hey ! Moi non plus, je ne m’attendais pas à te croiser dans le coin ! » Léger rire « Moi te fuir ? Tu rigoles, on habite à deux chambres l’un de l’autre, il te suffit de venir toquet ! » Tu le regardes taquin.

C’est vrai que tu n’as plus vu son corps depuis que c’est officiel entre toi et Hime qui se trouve d’ailleurs, juste à côté de toi. Est-ce que tu l’évitais ? Plus ou moins. Tu connais la moindre parcelle de son corps et tu as été attiré par son corps pendant de nombreuses années… Tu recalais gentiment ton ami avant de finir par craquer, il y a quelques semaines. Vous avez passé des moments torrides, c'était très intense, tu ne peux pas le nier. Tu te tournes légèrement vers Hime dans l’optique de faire les présentations, mais il lâche une sacrée connerie. Heureusement, que tu n’étais pas en train de boire… Tu te serais étouffé. Bordel ! Le con ! Tu pourrais être choqué, mais le connaissant, c’était inévitable, tu le sais. Cette voix, il est en colère ? C’est de te voir avec une autre ? Tu t’en doutes, c’est un possessif comme toi, mais tu ne lui appartiens pas. Pourtant, au fond de toi, son comportement te fait plaisir. Par contre, c’est horrible pour ta petite copine.

« Qu’est-ce qui t’arrives ? Tu fais ton jaloux, car je passe du temps avec une charmante demoiselle ! » Tu es amusé avant d’être légèrement plus sérieux. Elle n’est pas ton jouet. Tu regardes Hime avec un sourire sympathique. « Hime, je te présente Taiga » Tu regardes à nouveau le basketteur avec un sourire amusé. « Taiga, voici Hime ! » Tu t'approches de ton ami d’enfance afin de passer ton bras au-dessus de son épaule pour rapprocher son visage du tien tout en regardant ta petite amie avec un regard doux. Puis, tes yeux se font plus malicieux en regardant l’étudiant en sport. « Je t’ai manqué à ce point ? » Il a pourtant un nombre de jouet extraordinaire. Il faut dire que maintenant qu’il t'a goûté, il va avoir du mal à se satisfaire pleinement ailleurs… Il faudrait peut-être que tu redescendes sur terre non ? Oui.

Vous êtes proche, c’est évident en vous regardant et on comprend aisément que vous êtes de la même trempe. Difficile de l’ignorer, au vu, des mots qu’il a sortis face à ta petite copine. Pourtant, tu ne lui avoues pas être en couple… C’est trop tôt, tu veux le faire mariner. Tu es vraiment un horrible personnage ! D’ailleurs, là, tout de suite, tu n’as d’yeux que pour la jeune femme à vos côtés, un sourire complice et un regard intense, séducteur. Hime, c’est elle la priorité ? Cela ne va pas plaire à ton ami spécial…



Dernière édition par Aoi Tsuki le Ven 6 Aoû - 10:02, édité 1 fois
Aoi Tsuki
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Hime Watanabe
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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Ft. Aoi Tsuki & Taiga Serizawa
《 Tu aimes quand je te donne des ordres ? 》 Sourcil haussé. Réponse directe, joueuse. Ce ne serait pas une première. Il t'est déjà arrivé de lui imposer quelque chose, mais rien de bien contraignant. Tu n'es pas sa mère, ni même une dominatrice, juste une fille trop soucieuse qui de voit parfois obligée de pointer du doigt une direction pour que les plus fiers ne se retrouvent pas seuls dans leur tracas. Il y a sans doute pire que d'obliger un garçon à passer la nuit à tes côtés lorsqu'il repense à un traumatisme d'enfance auquel il réagit très mal. Après, tu n'es pas la seule à insister pour le bien de ceux que tu aimes, ton petit-ami cherchant à te convaincre d'accepter sa casquette.《 T'abuses ! 》  Ce qui est vraiment le cas.  《 Je m'en voudrais si tu dois finir à la casserole. 》  Et ça doit être douloureux de finir dans l'eau bouillante quand on est encore vivant. Ce n'est pas que tu n'aimes pas voir ces pauvres bêtes dans leur bassin d'eau, attendant d'être cuisiner. On te perd là... Fous, t'as quelque chose sur la tête. Tu lèves les yeux aux ciels, léger rire.  《 Quel dommage, j'aurai plus de mal à t'embrasser. Tant pis. 》 Tu hausses les épaules, nonchalante. Regard déviant dans la même direction que celui du brun. Curieuse. Un ami d'enfance ? Il a l'air important. Quelque chose te crie que son "par cœur" n'est pas anodin, même s'il n'a pas spécialement cherché à sous-entendre quoi que ce soit. Prête à entrer dans la cage aux lions, Hime ?

Tu les observes, les écoutes, quelque peu ignorée par ce nouvel arrivant. Pas que ça te dérange pour le moment, même si la politesse, au moins pour un regard, n'a jamais tué personne. Quoi que... Peut-être que tu aurais préféré qu'il ne te regarde pas finalement ? Ô que si... Tu es fixée ; ta présence ne le réjouit pas à en juger par son expression et le ton qu'il emploie. Tu es choquée ? Non. Des gueules plutôt agréables à regarder mais qui perdent tout leur charme une fois qu'ils ouvrent la bouche, c'est courant. Charmant le jeune homme. Mais tu t'abstiens de lui faire part de ce commentaire, de tes pensées... Pour le moment. C'est quand même un proche de ton petit ami, ça saute aux yeux. Juste pour ça, tu vas tenter de ne pas démarrer au quart de tour. Tu en as l'habitude. Quand on grandit dans un univers comme le tiens, mieux vaut apprendre à se maîtriser. Tu te contentes d'hausser un sourcil. Ce genre de commentaire, tu y étais préparée et tu l'avais fait comprendre à Aoi : il y en aura toujours pour te qualifier de jouet et parler sans même savoir. C'est beau la connerie. Tu n'es pas une fille méchante, Hime. Tu évites même de juger, laissant toujours aux autres leurs chances. Tu ne penses pas que ce type est con, mais son comportement, sur le coup... Limite. Quelque chose en toi te dit que la réponse du brun risque d'être à double tranchant. Mais tu laisses le bénéfice du doute. Léger sourire lorsqu'il vous présente.  《 Salut. 》  Sympathie malgré tout, juste ce qu'il faut. Tu regardes ton partenaire, lui rendant son sourire complice, curieuse de savoir jusqu'où ce Taiga peut aller sans prêter attention à qui tu peux être pour son ami... Ou plus ? Tu as un doute, instinct réveillé, observations. Total inconnu ? Oui et non. Si tu es loin de te fier aux bruits de couloir, le nom de ce jeune homme ne t'est pas inconnu s'il s'agit bien du même Taiga. Il faut dire qu'il traîne une belle réputation.
 
© Belzébuth



Hime Watanabe
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Taiga Serizawa
Admin fou et sadique qui ne veut pas de ton bien

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Regard fixe sur la demoiselle. Elle se trouve avec ton tendre Aoi et ça ne te plait pas du tout. Tu es quelqu'un de jaloux, de possessif. Tu as horreur lorsque l'on te vole ce qui t'appartient et oui, le brun t'appartient totalement. Tu as mis beaucoup trop de temps à te le faire, alors maintenant que tu l'as en ta possession, tu comptes bien le garder près de toi. Et ce n'est pas cette greluche qui va te le prendre.

Un léger sourire se dessine sur ton visage lorsque tu peux enfin entendre la voix de ton ami. Alors comme ça monsieur ne te fuit pas ? Quel mensonge il vient de te sortir ! Mais tu savais bien qu'il allait te mentir. En soit, tu en fais bien toute une histoire pour une ou deux semaines sans le voir, il faut le dire. Tu n'es pas marié à lui, ne l'oubli pas. « Ouais, c'est ce que j'ai fait. » Un léger blanc. « Une fois. » Ah bah oui monsieur Serizawa, si on vient toquer à la chambre de son ami seulement une fois en deux semaines, c'est sûr que tu ne vas pas le voir. Bon, il faut le dire, c'est déjà bien que tu sois allé jusqu'à sa chambre pour le rencontrer de nouveau. Il faut dire que tu ne fais jamais le premier pas. Ce n'est pas toi qui vient aux autres, mais bien eux. Mais bon.. C'est Aoi.

Une nouvelle fois, sa voix retentit. Tes yeux écarquillés. Tu hausses les sourcils. Ton regard se pose de nouveau sur la jeune femme. Pardon ? Charmante ? Elle ? Nan mais attend, il a de la merde dans les yeux ou c'est comment là ? Il est passé à des bombes fatales à une femme banale ? Ce n'est pas possible. Il a eu un accident. Il s'est cogné la tête. Tu le vois rire en plus. Instinctivement, tu viens poser ta main sur le front d'Aoi. Tout va bien. C'est la bonne température. Tu enlèves délicatement ta main et vient la remettre dans ta poche. Bon bah, qu'est-ce qui lui arrive ? Il est devenu fou ? En soit, elle n'est pas dégueulasse, c'est vrai. Il faut l'avouer Taiga, tu l'aurais déjà eu dans ton lit, mais ça, tu comptes vraiment le dire ? Bien sûr que non.

Il vous présente. Elle te salue, un léger sourire aux lèvres, alors que tu continues de la fixer. L'ambre plongeant dans le cobalt. « Ouais, salut. » Tu ne daignes lui décrocher un sourire. Le mérite-t-elle ? Qui est-elle au juste de toute façon ? Tu es bien plus important aux yeux d'Aoi de toute évidence. Ouais, c'est bien ce que tu penses. Bah continues de penser et de t'enfoncer.

Un léger soupire s'échappe d'entre tes lèvres alors que le jeune brun s'approche de toi pour passer son bras autour de ton cou. Etant plus grand, tu t'inclines légèrement sur le côté et écoutes simplement ce qu'il a à te dire. Alors que ton regard était toujours posé sur la demoiselle, la fixant intensément, ces mots viennent te décrocher d'elle pour détourner le regard vers ton ami, un sourire narquois dessiné sur ton visage. Tu viens rapprocher tes lèvres de son oreille et lui susurrer doucement, paroles inaudibles pour la demoiselle. « C'est ton cul serré et accueillant qui m'a manqué. » Délicatement, et sans que la demoiselle ne le remarque, tu viens passer ta main sur la fesse d'Aoi pour la pincer de tes doigts. Un rire franc. Tu te redresses en remettant tes mains dans les poches de ton short. Qu'est-ce que tu aimes le taquiner ce gamin. Et dire qu'il a toujours le cul aussi ferme que quand il était gosse, c'est dingue.

Finalement, tu perds rapidement ton sourire lorsque tu remarques leurs petits regards complices. Un frisson te parcourt le corps. Tes poings se serrent dans tes poches. Nan. Mais. Il se passe quoi pour de vrai là ? Il va la tringler juste après c'est pour ça qu'il est aussi tendre avec elle ? Rien que son regard, son sourire, on se croirait aux pays des bisounours. Tout en prenant un air totalement hautain, un sourire malicieux, presque moqueur sur tes lèvres. « Alors comme ça maintenant, tu t'attaques même aux crevettes. Dans le genre on jette la tête et on garde le corps. Tu m'impressionneras toujours, Aoi. » Cette fille, que tu ne quittes pas des yeux. Tu aurais presque envie de lui cracher dessus. Et pour une fois, ce n'est pas de ta semence dont il est question.

Taiga Serizawa
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Aoi Tsuki
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Hime & Taiga & Aoi
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Un moment à deux interrompu par la rencontre d’une troisième personne. Elle ne t’ait pas inconnue, au contraire, il s’agit d’un ami précieux. Enfin, est-il réellement un copain ? Un plan cul peut-être ? Non, c’est une relation spéciale, très difficile à décrire. Tu lui fais suffisamment confiance pour lui raconter toutes tes aventures qu’elles soient roses ou noires. Vous avez même partagé des moments intimes, c’est récent, mais c’était intense. Il n’y a aucun sentiment entre vous ? Non, il est ami d’enfance… De plus, qu’est-ce que l’amour ? Tu as du mal à le comprendre, bien que tu commences à découvrir cette nouveauté grâce à Hime. Ta fleur favorite ! La seule et l’unique ayant réussi à t’amadouer. Elle est importante à tes yeux, plus que Taiga ? Réponse sans réponse. Par contre, la surprise s’empare de ton être lorsqu’il ose avouer être venu à ta chambre. Lui ? Impossible. Tu n’y crois pas, mais ton sourire montre à quel point tu es heureux de ce geste. Fierté apparaissant sur ton visage d’ange.

Les présentations faites, tu réalises à quel point ta partenaire de jogging semble silencieuse… Tu ne la délaisses pas pour ton ami, mais forcément, tu te rapproches de ce dernier. Il y a un problème ? Tu le sais, aucun des deux ne semble apprécier l’autre et à juste titre. Hime ne traîne pas avec ce genre de personnage et à raison ! Taiga, lui semble la détester, mais pour une autre raison, il te pense à lui. Une erreur qu’il va falloir réparer. Tu n’es pas sa petite créature. Pourtant, il pose sa main sur ton front. Pourquoi ? Ce n’est pas son genre de s’inquiéter pour les autres, il a perdu la raison ? Tu n’en sais rien. Il agit étrangement. Tu n’as toujours pas compris que tu étais spécial à ses yeux ? Visiblement, non !

Son irritation a le don de t’amuser et tu comptes le taquiner davantage. Tu peux être malicieux quand tu le désires. Le problème, c’est qu’il te ressemble et lorsque tu l’embêtes un peu trop, il réplique… Un sourire narquois que tu connais à la perfection. Une réplique qui aurait eu le don de te chauffer dans d’autres circonstances. Ton ami réalise un geste déplacé. Un pincement sur ta fesse qui te dérange profondément. Sérieusement ? Plus ou moins. Tu te contentes de sourire comme s’il ne s’était rien passé. Il te désire toi, ton petit cul serré. Le problème, c’est que ton corps n’appartient plus qu’à une seule personne et elle est présente à tes côtés. Respiration lente. Vos ébats torrides ne pourront plus avoir lieu, ce petit plaisir est terminé. Est-ce qu’il te manque ? Pas vraiment. Tu es heureux et comblé avec ta petite amie. Vérité comprise à cet instant précis. Seulement, tu aimes le changement. Combien de temps penses-tu tenir ? Tu n’as jamais été fidèle à personne. Tu n’as jamais eu de petite copine. Tu te contentais de passer d’un jouet à un autre. Horrible personnage. Tu aimes le danger, la nouveauté et les unions avec Taiga étaient hautes en couleur. Intensité qui te rendait accro à ce dernier. D’ailleurs, tu l’évites afin de ne pas céder à tes pulsions ? Il te suffit de l’avouer. Il ne faut pas craquer face à tes démons.

Non, c’est faux ! Tu veux que ta relation avec Hime fonctionne pour diverses raisons. Elle te comprend à la perfection, vous êtes comme connectés. Tu la désires plus que n’importe quel être humain. Elle arrive à te faire sourire, à te rendre meilleur, tu le sais, tu le ressens. Tu n’as pas besoin d’être un autre en sa présence, tu peux même te laisser aller… Elle est la lumière quand l’obscurité s’impose. Tu veux sentir la chaleur de son corps contre le tien, sa douce peau contre la tienne.Tu commences à te perdre dans tes pensées en regardant ta petite amie avec complicité, avec tendresse… Lorsqu’une phrase te réveille. Qu’est-ce qu’il vient de dire ?! La douceur et la tendresse de ton regard s’envolent sous le choc des propos du basketteur. « Pardon ?! » Tu ne t’éloignes pas du brun, ta main sur son épaule se déplace afin d’atteindre le cou de ton ami. Tu lui infliges une pression suffisamment importante avec ton pouce et ton index pour lui faire légèrement, mal. Étalon dominant. Ton poing libre se serre.« Tu ferais mieux de faire attention à tes propos… » Le ton de ta voix est représentatif de ta colère.

Tes yeux dorés se plongent dans ceux de Taiga. Petit con ! Ton regard traduit ta pensée. Il n’a pas le droit de s’en prendre gratuitement à ta protégée. Il sait à quel point, tu peux être contrarié lorsqu’on s’en prend à l’un de tes jouets favoris, alors avec ta petite copine. Il vaut mieux ne pas te chercher ! Le problème, c’est qu’il n’est pas au courant, mais une chose est sûre, tu n’es pas à lui ! « J’en ai terminé avec les homards. Tu sais ceux où il n’y a que le corps et la queue à garder ! » Paroles violentes. Froideur extrême. Tes paroles sont prononcées sur le coup de l’impulsivité, bien que tu le penses sincèrement. La demoiselle observant la scène pourra entendre tes mots à condition qu’elle tende suffisamment l’oreille. Un sourire se dessine sur ta bouille d’ange. Malicieux. Tu approches tes lèvres à son oreille. « Je ne suis le jouet de personne…même pas le tien ! » Réalité dévoilée à ton ami spécial. Il n'est qu'un ami spécial, relation indescriptible mais il n'est pas ton dominant. Il n'est pas ton petit copain, il n'a pas à se croire supérieur. Il n'avait qu'à être plus clair au moment venu... Tu es vilain. Parole inaudible pour le reste de l’assemblée. Ta main se desserre alors que tu t’éloignes de ce dernier pour revenir auprès de ta bien-aimée. « Tu parles de crevette, mais à ta place, j’emploierais plutôt le terme de perle ! » Tu n’as d’yeux que pour la fleur en face de toi. Un regard désolé pour le comportement de ton ami qui a clairement dépassé les bornes…

Une perle que tu comptes garder à tes côtés maintenant que tu l’as trouvé. Après, il faut toujours se méfier des crevettes, certaines sont violentes, aussi dangereuses qu’un boxeur, il s’agit des crevettes mantes… Attention Taiga !

Aoi Tsuki
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Hime Watanabe
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Geste qui te met la puce à l'oreille. Les débuts vont être difficiles, voir catastrophiques. L'ami de ton petit ami, dont il semble vraiment proche, agit comme s'il n'était pas de son avis. Il t'ignore, te regarde de haut en bas, pour ensuite te parler froidement. Tu as pourtant essayé, Hime, de prendre sur toi, de mettre de côté ce comportement déplacé, de faire comme si de rien n'était pour sourire. Tu te voulais sincèrement sympathique, comme à ton habitude. Mais l'effort n'est pas réciproque. Là où tu tentes de mettre en lumière ce qui existe entre eux, lui se contente de croire en ses idées, d'exprimer à quel point ta présence le dérange. Tu comptes t'en aller ? Il t'en faudra plus. Tu devrais être en colère et pourtant, il y a quelque chose dans leur proximité qui te fait légèrement sourire. Très légèrement. Car leur relation semble être sincère, chose dont Aoi manque cruellement selon toi. Après, mieux vaut peu d'amis mais de vrais qu'un tas d'hypocrites autour de nous, n'est-ce pas ? Rien ne te dérange ? Si. Il y a bien quelque chose qui te perturbe, une alarme qui retentit, mais tu n'arrives pas encore à mettre le doigt dessus.

Belle gueule. Peut-être même beau corps. Ça semble bien être le cas. Mais le charme s'arrête là. Remarque qui te fait hausser un sourcil. Est-ce qu'il vient vraiment de sous-entendre très clairement que tu es un laideron ? Qu'il n'y a que ton corps qui est un minimum attirant. Ça te blesse ? Non. Ce n'est pas ça qui te choque mais bel et bien sa façon de le dire. Les circonstances. Cœur s'accélèrant malgré toi. Sang chauffant dans tes veines. Tu restes pourtant calme, lèvres se séparant pour lui répondre. Mais le brun est plus rapide, semble très mal prendre les propos de son ami. Geste qui te fait un peu paniquer.  《 A-Aoi... 》 Trop basse pour qu'il y prête attention. Tu ne veux pas qu'ils de disputent, certainement pas pour toi, même si ça te fait plaisir et te rassure de voir que ton petit ami prend ta défense. Tu observes la scène avec attention, oreilles tendues. Sont-ils vraiment partis dans un débats sur les crustacés ?! Tu n'entends pas la suite, mais voir ton partenaire lâcher Taiga pour ensuite revenir à tes côtés te rassure un minimum. Inspiration profonde. Reprends-toi. Ta nouvelle comparaison te fait légèrement sourire. Tu tournes la tête vers Aoi, sourire reconnaissant sur le visage.  《 C'est bon Aoi. Ce genre de propos ne m'atteint pas. 》 Voix calme, rassurante. Ton regard revient ensuite sur l'autre jeune homme. Si c'est bien lui le fameux Taiga, les filles qui finissent dans son lit te feraient presque de la peine. Il ne fait même pas semblant d'être charmant. C'est bien, d'un côté. C'est quelqu'un d'honnête à ce niveau-là, tu peux lui accorder ça. Mais tu ne vois pas en quoi être méprisée et malmenée gratuitement est attirant. Au final, peut-être qu'il y a bien une personne qui a encore moins de chance que les filles qui tombent dans ses bras : lui-même. Il y a quelque chose chez ce type qui te rappelle ton ex petit-ami... Dans son comportement en général. C'est dur.

《 Je suis désolée si ma tête ne te revient pas. Si Aoi m'avait prévenu que je devais me promener avec un sac poubelle sur la tête pour te rencontrer, j'en aurai mis un dans ma poche. Mais je suis contente que mon corps ne te répugne pas ! 》 Tu penches légèrement la tête sur le côté.  《 Cela dit, j'aime vos comparaisons. C'est délicieux le homar quand on sait bien le cuisiner. 》 Sous-entendu. Tu réalises quelques chose à cet instant précis, Hime. Ce type... Est-ce par hasard ? 《 Vous avez couché ensemble ? Ah non, "baiser", c'est bien ça le terme ? 》 Tu les regardes l'un après l'autre, eux qui se connaissent depuis longtemps selon les mots d'Aoi, léger sourire sur le visage. Soupire. Décision. 《 Eh ben, la pauvre crevette que je suis pour l'un... Ou perle pour l'autre... va devoir donner le paquet ! 》 Tu as conscience que tu n'es dans la vie du brun que depuis peu de temps comparé au jeune homme. Mais cela te rend-t-il moins méritante ? Pas du tout. Tu ne veux pas briser leur amitié... Tu es prête à le voir, ce Taiga. Car il est important pour Aoi. Mais tu es déterminée à être un être à part dans la vie du volleyeur. Tous ces sentiments, toutes ces pensées, ils sont visibles dans ton regard.
 
© Belzébuth



Hime Watanabe
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Taiga Serizawa
Admin fou et sadique qui ne veut pas de ton bien

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Non. Tu ne t'attendais réellement pas à cette réaction de la part de ton ami. Lui qui était pourtant plutôt blagueur comme toi. Qui s'en fichait pas mal de critiquer ses anciens jouets. Il t'est déjà même arrivé de critiquer l'un de ses jouets actuels à l'époque, il n'avait pas réellement broncher, c'est vrai. Bien qu'il était en colère puisqu'il l'appréciait. Mais là. C'est tellement excessif. Tellement frustrant pour toi mon pauvre Taiga.

Un geste violent qui te fait écarquiller les yeux. Une main que tu connais trop bien qui se resserre sur ton cou. Oh non, Aoi. Ne joues surtout pas à la violence avec Taiga. Tu sais très bien que tu vas perdre. Parce que oui, tu ne te gêneras pas pour le frapper lui ou bien sa copine. Tu as cette réputation de frapper sur tout ce qui te passe sous la main lorsque tu es véritablement en rogne et il ne faut vraiment pas être dans les parages à ce moment-là. Tes dents qui grincent. Ta mâchoire qui se serre. Tu essayes quand même tant bien que mal de contenir ta colère. Tu sais que là, il ne le fait pas pour te séduire comme les autres fois où il essayait de te dominer. Là, ce n'est plus un jeu malheureusement. Les festivités peuvent commencer.

Un sourcil levé. Incompréhension lorsqu'il ose te traiter tel un crustacé. Tu le prends vraiment mal. Parce qu'au final, tu ne parlais pas de lui ici.. Tu ne l'as pas visé. Il ose vraiment te dénigrer de la sorte pour elle ? Genre parce que tu viens de lui envoyer un pique, il te prend ainsi par le cou en montrant les crocs tel un animal sauvage prêt à garder sa proie ? Tu détournes ton intention sur la jeune fille. Donc tout ça, tout ce qui se passe.. C'est de ta faute salope ? Envie meurtrière. Yeux perçants. À cet instant. Si Aoi n'aurait pas été ton ami d'enfance. Sérieusement. Tu lui aurais broyé la main et tu aurais écrasé la tronche de sa précieuse sur le sol jusqu'à ce qu'elle perde toutes ces dents. Tu es fou.

Mais la voix du brun te ramène rapidement à la réalité. Tu le regardes de nouveau. Pardon ? Tu n'es pas un jouet ? Et qu'est-ce que tu as été pendant tout ce temps idiot ? Où tu te faisais tellement prendre dans tous les sens que tu n'arrivais même plus à marcher droit ? Toutes les fois où il a pris ta semence en lui. Baratin. Tu te rapproches de lui. Le forçant même à resserrer son étreinte sur ton cou. Tu le fixes profondément, de ton regard ambré. Le regard d'un tueur. Sourire narquois. Hautain. Sadique. Voix lente. Inquiétante. « Tu trouves ? Pourtant.. Ce n'est pas réellement l'impression que tu m'as donné la dernière fois que ton cul c'est autant serré autour de ma queue. » Ton regard qui glisse pour fixer la demoiselle. Oh oui. Tu as fait exprès de le dire à voix haute, qu'elle entende tout.

Il relâche finalement son étreinte et se retrouve à côté de la jeune fille. Tu les fixes alors que cette dernière prend la parole. Tu l'écoutes attentivement alors que ton regard ne la quitte pas. Si l'on pouvait voir cette scène autrement.. Tu serais le lion prêt à les dévorer tous les deux.

Un rictus. Pour une crevette, elle a finalement de la répartie. Ce qui te fait sourire intérieurement parce qu'on oublie pas, mais tu la détestes. « Vous avez couché ensemble ? Ah non, "baiser", c'est bien ça le terme ? » Finalement. Tu arrives à le décrocher ce sourire satisfait. Et bien et bien. Enfin, nous y voilà. Le moment tend attendu. Tu ne fais plus attention au jeune brun, préférant fixer la demoiselle qui te fait face. « Ouais, c'est bien le terme. Baiser. Comme des bêtes. Et plus d'une fois. » Pour une raison que tu ignores, tu sens que ce n'est que le début de la fête.

Ton regard se détourne, fixant à présent le brun d'un regard inquisiteur. Tu fronces les sourcils, un sourire aux lèvres. « Mais à ce que je vois, mademoiselle n'est pas au courant. » Tu marques un temps de pause pour essayer de voir une réaction du jeune homme. « J'ai comme l'impression que tu caches des choses à tout le monde, Aoi. Que ce soit à la petite perle. Ou bien au homard. » Retournement de situation. Aller Aoi, il faut passer à la casserole maintenant !

Taiga Serizawa
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Aoi Tsuki
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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Hime & Taiga & Aoi
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La colère s’est emparée de ton être l’espace d’un instant. Hime n’est pas un laideron à tes yeux et il n’a pas à lui parler de la sorte. Tu n’as jamais supporté qu’on s’en prenne à tes jouets, alors tu n’es pas près de laisser ce comportement blessé ou déranger ta charmante petite amie. Même si cela ne l’atteint pas, cela te dérange profondément. Il n’en a pas l’autorisation. Il a beau être spécial à tes yeux, tu ne peux pas le laisser faire. Pendule remise à l’heure. Évidemment, ton geste le surprend. Tu n'es pas un homme violent, sauf, si c’est nécessaire ! Tu ne veux surtout pas ressembler à ton monstre de père, celui qui n’hésitait pas à te faire du mal dans le but de se détendre ?! Tu n’en sais rien et tu ne veux pas le savoir. Tu es beaucoup trop concentré sur ton amie pour entendre la demoiselle prononcer ton prénom. Bordel, tu n’es pas son jouet ! Pourtant, il ose revendiquer le contraire. Il l’exprime à la perfection. Frustration. Tu n’es pas une victime, tu n’es pas un faible. Déclic. Tu comprends facilement qu’il a parlé suffisamment fort pour qu’elle entende tout… Putain le salaud ! Silence. Tu ne réponds rien. Réflexion. Inquiétude. Regard de tueur. Tes yeux dorés expriment ta colère avant d’être plus doux et désolé auprès de ta compagne lorsque tu l’as rejoint.

Elle t’avoue sincèrement ne pas être touchée par ces propos. Elle n’a pas entendu le murmure de Taiga ?! Tu l’espères, bien que les chances soient faibles. Tes yeux reviennent sur le brun alors qu’elle ose prendre la parole. Quel caractère ?! Elle te plaît. Elle n’a pas peur d’exprimer sa pensée. Finalement, elle aurait pu se défendre toute seule, mais tu es beaucoup trop dominant et impulsif pour ne rien dire. Quelque chose te dérange et à raison. Elle parle encore et encore jusqu’à comprendre quelque chose. Ton poing se resserre discrètement. Enervement. La question est beaucoup trop dérangeante à ton goût, mais le pire dans cette histoire, c’est le sourire satisfait de ton ami et sa réponse… Il mériterait de recevoir ton poing dans sa belle gueule. Yeux s’écarquillant sous le choc de ses mots. Vérité dévoilée à ta petite amie. Tu n’as pas honte, mais il y a quelque chose qui te gêne. Stress commençant à se faire ressentir dans ton être bien qu’à l’extérieur, tu sembles normal, bien qu’un brin énervé.

« Tais-toi » Murmure prononcé par réflexe. Protection.

Tu es pensif. En effet, vous ne couchiez pas ensemble, mais vous baisiez. Il n’y avait pas de sentiments, juste un contact sexuel ? C’est faux, il y avait bien quelque chose de spécial, mais ce n’était pas de l’amour, n’est-ce pas ? Alors, pourquoi cela te dérange ? Tu n’en sais rien. Pourquoi, Taiga semble aussi énervé ? Pourquoi il te veut pour lui seul ? Tu voudrais le savoir, tu voudrais comprendre, mais c’est impossible pour le moment, à moins qu’il prenne le temps de t’expliquer. C’est beau de rêver. Vos moments intimes étaient tellement excitants que vous en redemandiez tous les deux. C’était énergique, intense et parfait ! Le seul qui t’aura fait céder…qui aura pu profiter de ton petit cul. Le seul qui aura réussi à te dominer ? Oui… Putain, tu adores le sexe avec lui ! Pensée interdite. Trahison. Tu ne veux plus t’envoyer en l’air avec l’un de tes jouets. Et Taiga ? Tu ne veux plus jamais qu’il te touche, tu ne veux plus sentir ses lèvres contre les tiennes, tu ne veux plus l’étreindre, tu ne souhaites plus sentir son engin te pénétrer encore et encore… Tu désires Hime ! Ton corps réclame le sien et ton cœur commence à guérir et à s’imposer. Il souhaite avancer et être fidèle avec ta petite amie. En es-tu capable ?

La suite, t’énerve encore plus. Sourcils se fronçant, visage exprimant une certaine froideur.

« Je ne cache absolument rien ! » Phrase dite sous l’impulsivité et l’on peut le ressentir à ta voix.

Elle n’est pas au courant de quoi ? Évidemment qu’elle sait que tu es un chaud lapin… Elle t’a accepté en connaissant les rumeurs sur toi. Elle te connaît et qui sait, peut-être mieux que ton ami ? Aucune réponse. Tu n’allais quand même pas lui fournir la liste complète de tes jouets, de tes partenaires d’évasion et tu n’allais certainement pas crier sur tous les toits que tu t’étais fait prendre par Taiga ! Mâchoire se serrant.

« Elle sait beaucoup de choses… » Sous-entendu à propos de tes parents et plus précisément de ton père. Regard sérieux. Vérité. Elle n’est pas la seule au courant. Tu décides de bouger ton bras afin de prendre la main de la demoiselle se trouvant à tes côtés. Geste audacieux alors que Taiga t’observe en jouant le rôle du prédateur. Mais la vérité, c’est que tu vas passer à la casserole et la réaction de ton ami t’effraye. Il est capable de faire une grosse connerie… Crainte qu’il est un geste déplacé. Tu sais qu’il ne se gênera pas. Tu as déjà eu un aperçu avec ses propos et sa manière de se comporter.

« Tu sais quoi…la nouveauté c’est que j’en ai terminé avec les plans culs à droite et à gauche ! Contrairement à toi, j’ai trouvé une petite amie ! » Phrase sincère venant du cœur. Regard sérieux. Tu fixes ton ami, ton plan cul, celui qui te faisait monter au septième ciel dans des ébats torrides et légèrement violents à certains moments.

Cette fille, tu sais qu’elle est celle qu’il te faut, car elle te l’a montré à plusieurs reprises et que ton cœur te l’indique. Connexion inexplicable. Main chaude serrant tendrement celle de ta bien-aimée. Elle essaye de te prouver jour après jour qu’elle veut se faire une place dans ta vie, mais elle a déjà réussi. Putain, elle t’a amadoué ! Il serait temps de véritablement le réaliser, abruti ! Douceur et passion s’exprimant sur ton visage d’ange. Beau parleur. Tout le monde le sait dans cette assemblée. D’ailleurs, ton sourire devient plus taquin d’un coup. Qu’est-ce qui se passe par la tête ? Il a voulu faire le malin ? Il a voulu te faire croire que tu étais son jouet ? Tu vas te venger… Mauvaise idée. Tu sais qu’il répliquera, mais on ne peut plus t’arrêter. Tu es beaucoup trop têtu quand tu as une idée en tête. Tu lâches la main de ta petite amie et tu commences à te dénuder afin de retirer ton haut pour laisser apparaître ton corps d’étalon. Sourire taquin. Regard amusé.

« Il va falloir te faire une raison, tu n’as plus l’autorisation de me toucher ! Tu ne pourras plus satisfaire tes envies et réaliser tes fantasmes avec moi… » Légère pause. Tu le nargues alors que ta copine est à côté de toi ?! Tu sais qu'il adore ton corps et qu'il ne s'en lassera jamais... Le pire être humain possible, mais cela te ressemble bien. Après, tu montres à Hime que ton corps lui appartient entièrement, il n’y a rien de mal non ? Aucune idée. Mordillement de lèvres. Provocation. « Il n’y a rien de mieux que de coucher avec la fille qui nous plaît et compte sur moi pour lui faire l’amour encore et encore… On profitera ensemble et on partagera bien plus qu’un moment intime qui n’a que pour objectif de se défouler, car ce n’est absolument pas ce qu’il se passe entre Hime et moi ! » Sincérité. Tu as complètement craqué ! « Il n’y avait que cela n’est-ce pas ? Tu voulais simplement qu’on baise non ?! Tu voulais te vider hein ?! Alors n'importe qui fera la faire non ? » Provocation. Diable. Horrible créature. Pause ayant pour but de voir sa réaction. « Alors pourquoi tu fais ton possessif ? Je ne suis pas ton jouet, je ne suis pas ta chose bordel ! Je suis ton ami non ? » Colère exprimée. Tu joues sérieusement avec le feu et tu risques de te brûler. Attention. La réaction de ton ami va être fatale et tu commences à réaliser tous tes propos qui étaient légèrement déplacés en présence de ta petite amie. Mais il te rend dingue. Tu as fini de monopoliser la parole. Un véritable ouragan. On ne pouvait plus t’arrêter dans ta lancer, mais visiblement, tu avais des choses à exprimer. Quel sort t’attend ? Tu viens de lancer une énorme bombe… Difficile de regarder ta petite amie après tous ses mots, alors que tu n'as fait que lui prouver qu'elle passe en priorité par rapport à ton ami d'enfance. Même si c'était très maladroit et sous la colère et l'impulsivité, mais au moins, c'était toi !

Aoi Tsuki
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Hime Watanabe
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Ft. Aoi Tsuki & Taiga Serizawa
Tension palpable. Monstre imposant sa loi, aussi puissante que son égo. La Terre tremblerait sous ses pas, tant ses chevilles sont lourdes, dures, prêtes à exploser. Il apparaît, impose son rythme, mais ne menace pas de disparaître de si tôt. Curieuse. Tu sens qu'il y a quelque chose entre eux depuis le début, quelque chose de spécial. Tu étais contente, contente à l'idée qu'Aoi ait au moins une relation sincère. Mais plus le temps passe, faisant des secondes des minutes, plus les mots volent, et plus tu désenchantes. Question que tu n'aurais peut-être pas dû pose ici mais à quoi bon mentir et jouer les sourdes ?  Les aveugles ? Tu n'es pas comme ça, fille plus impulsive qu'il n'y paraît. L'ignorance te fait horreur à cet instant précis, ton cœur souhaitant connaître la vérité derrière leurs murmures, leur apparante complicité, leur soudaine froideur. La réponse te fait froid dans le dos. Ce type... Il s'est tapé celui qui est désormais ton petit ami, plus d'une fois. Nuits intenses. Ce n'est pourtant pas ce qui te choque le plus dans cet aveu. Aoi est un séducteur, bisexuel, qui fait ou plutôt qui faisait ce qu'il voulait de son corps. Non. Ce qui te choque, c'est le naturel avec lequel ces paroles ont quitté les lèvres du monstre. Cette fierté non dissimulée dans son regard. Tu te mords la lèvre inférieure. Pas de malaise mais pour te contenir... Comment peut-il dire une telle chose d'une telle façon ? N'est-il pas censé être l'ami de ton petit-ami ? Ne pense-t-il donc pas à ses sentiments ? Prend-t-il du plaisir à chercher à l'humilier ? À lui faire du mal ? Ne pense-t-il donc pas à ses désirs ? Le pense-t-il seulement humain, tout comme lui ? Alors c'est ça, un ami ? Non. Ça n'a rien d'amical. C'est égoïste, gratuit, bêtement méchant, méprisant. Rien de plus. Les sentiments, il les piétine comme un enfant s'amuserait à en rejeter un autre parce qu'il n'aime pas sa couleur préférée. Pitoyable.

Diable se réveillant. Pour le meilleur ou pour le pire. Ton instinct hurle, Hime. Taiga n'a quasi aucun scrupule. Peu de limites. Il est pire que ton ex petit-ami pour ce genre de chose, tu le sens. Pourtant, tu acceptes cette main qui vient saisir la tienne, refermant tes doigts autour de celle-ci. Tu ne dis rien, tête baissée, tentant de garder ton calme.  Mais tu écoutes, très attentivement même. Sa petit-amie, c'est ainsi qu'il t'a décrit. Enfin... Mais...Contact perdu, au pire moment possible. Pour enlever son haut, pour provoquer, pour dire que tu lui plaîs... Mais Hime, à cet instant, ce n'est pas ça que tu aurais voulu voir. Ce n'est pas ça que tu aurais voulu entendre. Pourtant, l'attention est là ; montrer que tu n'es pas son jouet. Tu le comprends bien mais... Cela va-t-il suffir à faire passer le message au brun ? À l'atteindre. Peut-être...Mais tu ne voulais pas que ça se passe ainsi. Ton cœur se serre dans ta poitrine. Parce que les paroles de ton petit-ami t'atteignent... Parce que c'est sa façon à lui de faire comprendre qu'il t'aime, même si tu aurais voulu que ce soit plus clair, moins nuancé dans ses précédentes paroles. Parce qu'il a raison : un ami n'est pas un jouet, une chose.

Pourquoi, Hime ? Pourquoi est-ce toujours de ta faute si les choses tournent mal pour ceux qui font battre ton cœur. Qu'est-ce que tu as fait de mal ? Quand est-ce que ça a merdé ? 《 C'est bon, ça suffit. 》 Mots discrets mais secs et audibles.  《 Vous trouvez vraiment de la satisfaction là-dedans ?! 》 Léger rire. Sec. 《 Je ne suis pas votre putin d'excuse ! 》 Tu as envie de partir, Hime. Tu ne veux pas les voir se briser et encore moins en être la cause. Tu es pourtant très calme Hime. Tu n'en veux à personne. Tu veux juste que ce petit jeu cesse avant qu'il ne soit trop tard.
 
© Belzébuth



Hime Watanabe
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Taiga Serizawa
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feat. Hime Watanabe & Aoi Tsuki
Au fond, tu le sais Taiga, tu risques de très rapidement perdre patience. Tu n'es pas quelqu'un qui cherche à avoir des explications, bien sûr que non. Si quelque chose ne te plaît pas ou ne va pas dans ton sens, tu forces la chose ou bien tu lâches l'affaire parce que tu t'en contre fou. On peut le dire, tu es en train de faire l'effort du siècle à les écouter tous les deux pour avoir le fin mot de l'histoire.

C'est vrai. La petite fin de cette histoire d'amour de merde. Tu la veux. Et pourtant, tu le sais, elle ne sera pas bonne pour toi. Ce n'est pas la tienne et ça ne sera jamais la tienne. Tu veux en finir et vite, que tu puisses rapidement passer à autre chose. C'est ce que tu aurais fait, c'est vrai, si ça n'avait pas été Aoi. Bien que tu n'aimes pas être dans ce genre de situation, il te faudra être très attentif à tous ses dires, ses faits et gestes. Parce que s'il flanche, tu t'en serviras contre lui, contre sa belle. Que tu es vicieux.

Un sourire plus que satisfait se dessine sur ton visage lorsque tu remarques la pauvre tête d'Aoi complètement choqué par tes dires. Cette expression qui anime en toi un feu si ardent. Oupsi, tu aurais fait une gaffe peut-être ? Tu aimes voir cette décomposition sur le visage des autres, mais c'est tellement plus agréable sur lui. Putain, ça pourrait tellement te faire bander Taiga. Parce que oui, il ne faut surtout pas oublier que tu es un fou avant tout. Voir quelqu'un se dévêtir devant toi ne sera pas aussi excitant que de voir une pauvre petite gamine pleurer et supplier d'arrêter les coups que tu donnes à son partenaire. Ce genre d'expression, c'est ça qui t'exalte.

Tu le vois blablater, essayant de s'en sortir comme il le peut. Et bien que cela t'amuse intérieurement, ton air satisfait disparait rapidement lorsque tu remarques la main d'Aoi prendre celle de la petite brune. Un rictus. Un soupçon de colère, d'agressivité dans ton regard. Non, Aoi. N'ose même pas le dire. « Tu sais quoi… La nouveauté c’est que j’en ai terminé avec les plans culs à droite et à gauche ! Contrairement à toi, j’ai trouvé une petite amie ! » Putain. Il l'a dit le con.

Un nouveau rictus. Tes dents grincent légèrement alors que tu le fixes pendant un très long moment. Lui faisant comprendre par le regard, qu'il est plus que mort. Dis tes adieux connard, tu t'es mis dans la merde tout seul. Batard d'Aoi.

Alors que tu comptais tout bonnement poser ton gros poing robuste sur sa petite joue moelleuse, il vient se dévêtir, présentant son torse très bien tailler à la vu de tous. Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Tu as chaud ? Tu veux peut-être faire un tour dans la mare ? Oh, ne t'inquiète pas, tu vas pas tarder à retrouver tes congénères, canard de merde.

Tu le regardes simplement te provoquer. En soit, ça ne te touche pas réellement. Tu t'en fiches pas mal puisque là, il se ridiculise complètement et pas seulement devant son "ancien plan cul", ni même devant sa perle, mais devant un bon nombre de personnes qui sont venu pour être tranquilles dans le parc. Tu trouves ça même plutôt amusant qu'il surréagisse de cette façon. Pourquoi être autant excessif ? Te montrer à nu ainsi ? S'il s'en fichait vraiment d'avoir été plan cul avec toi, il ne devrait pas réagir comme ça.

Ahhh, ça te fait tellement jubiler de l'intérieur que tu ne l'écoutes même pas. Tu le regardes. Lui.. Son corps. Son torse complètement nu. Imaginant simplement une scène plutôt macabre et insolite dans ta tête. Quelle expression ferait Aoi si tu le pénétrais devant sa douce ? Comment réagirait-elle de son côté ? Et si à l'inverse, tu la faisais se faire prendre par une bande de quatre mecs devant Aoi ? Et si tu les faisais se faire pénétrer en même temps, l'un en face de l'autre ? Bien sûr, tu serais celui qui pénètrerait Aoi. Un gang bang. Une putain d'orgie sur les deux. Que tu es horrible pour avoir ce genre de penser Taiga. Es-tu réellement humain ou bien un monstre ? C'est à se demander.

« Il n'y avait que cela n'est-ce pas ? Tu voulais simplement qu'on baise non ?! Tu voulais te vider hein ?! Alors n'importe qui fera la faire non ? » Ces mots te ramènent rapidement à la raison, t'empêchant de continuer cette mise en scène horrible que tu avais imaginé. N'importe qui fera l'affaire ? Un sourire en coin se dessine sur ton visage alors que tu glisses ton regard vers la petite demoiselle. Sourire amusé, taquin. « N'importe qui hein. » Ouais, effectivement Aoi. Tu as dit n'importe qui, donc ta perle en fait partie.

Ton regard se pose une fois de plus sur Aoi, l'écoutant encore une nouvelle fois blablater. Bien que tu n'es pas réellement écouter tout ce qu'il avait à te dire, tu as en compris le sens et certains mots t'ont bien touchés. En même temps, il gueulait tellement fort. Tu n'as même pas le temps de rétorquer quoi que ce soit, que la voix de la jeune demoiselle retentit. Putain, ils en ont pas marre de te couper dans tout ce que tu comptes faire ? « C'est bon, ça suffit. Vous trouvez vraiment de la satisfaction là-dedans ?! » Bah oui tu crois quoi ?

Ton regard glisse de nouveau sur la demoiselle et tu peux le voir, elle a tellement envie de se tirer d'ici. Pauvre fille. Tu t'es mise dans un sacré merdier. Un long soupire s'échappe d'entre tes lèvres alors que tu viens croiser de nouveau tes bras sur ton torse. Comptes-tu jouer ta dernière carte avant de les frapper tous les deux ? Sûrement « C'est vrai, la petite perle a raison. Arrêtons nous là. »

Ton regard se tourne vers Aoi. « On a tous écouté le cinéma de monsieur. Tu as voulu prouver que nous n'étions qu'un simple plan cul à ta nouvelle petite amie n'est-ce pas ? Mais dis-moi Aoi.. » Regard noir. Ton sincère et agressif à la fois. « Est-ce que les plans culs s'embrassent ? Est-ce qu'ils dorment ensemble après l'acte ? Est-ce qu'ils se voient même sans baiser ? Est-ce qu'ils font ce que nous faisions ? » Une vérité. Vous avez passé beaucoup de temps intime ensemble c'est vrai, mais vous avez aussi eu des moments sans coucheries. Une complicité qui vous n'aviez pas avant de passer à l'acte.

Un nouveau soupire s'échappe d'entre tes lèvres. « Je t'ai couru après pendant tant d'années et tu pensais réellement que tu n'étais qu'un plan cul pour moi ? J'ai dû être le seul à ressentir plus qu'une attraction physique.. » Une petite moue se dessine sur ton visage alors que tu détournes le regard vers la demoiselle. « Je pensais que tu étais simplement occupé pour ne pas répondre à mes appels. Mais tu m'évitais pour te retrouver avec elle. » Regard qui se détourne sur Aoi. « La moindre des choses. Sa aurait été de me prévenir. C'est ce que font les "amis", n'est-ce pas ? » Serait-ce simplement un mensonge ? Ou bien une vérité enfouie ?

Premier choix. Un jeu qui retournerait complètement la situation. Comment Hime va réagir face à tes mots ? Est-ce qu'elle va préférer croire un inconnu qui lui a appris quelque chose sur son mec ? Ou bien son mec qui lui a caché une vérité ? Dur dilemme. Si c'est ce choix, alors tu es vraiment un connard plein de vices.

Deuxième choix. Une vérité que tu n'as jamais pu avouer à ton ami. Quelque chose que tu recherchais avec lui. Peut-être de la stabilité ? Une relation sérieuse ? Bien que tu le laissais jouer avec d'autres personnes, tu n'en restais pas moins jaloux. Si c'est ce choix, alors Aoi est un véritable connard car dans cette situation, c'est Hime et toi les victimes.

« Au final, tu t'es bien foutu de ma gueule. » Un regard empli de défis. Aller Aoi, rétorque si tu le peux. En seras-tu seulement capable ?

Taiga Serizawa
Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga] EmptyMer 29 Sep - 1:27



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Aoi Tsuki
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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MessageSujet: Re: Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga]
Hime & Taiga & Aoi
Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre !

Tu as complètement pété un câble mon pauvre Aoi ! Il te rend fou et à raison, car il n’a pas l’autorisation d’être possessif quand il s’agit de toi, il n’a pas le droit d’être un monstre avec ta petite amie. Tu ne supportes pas son comportement pour la simple raison qu’il n’est pas ton copain, il n’a absolument pas ce titre. Pourquoi ? Bonne question. Petit à petit, tu réalises à quel point tes mots étaient maladroits. Tu es un véritable monstre. Tu n’oses pas regarder ta petite amie, tu penses l’avoir blessé par tes propos. Elle aurait raison d’être attristé ou en colère. Elle n’est pas un jouet. Tu le sais très bien. Abruti. À travers le regard de ton ami, tu comprends qu’il n’a qu’une seule envie… Il veut te frapper pour avoir osé prononcer de tels mots. Vicieux. Tu le connais. Tu crains la réaction de ce dernier. Qu’est-ce qu’il va dire ? Faire ? Tu attends désespérément la suite…

Il jubile le salaud. Tu en as conscience. Tu le connais trop bien. Il ose murmurer quelques mots qui ne te plaisent absolument pas… Il n’a même pas intérêt à poser ses sales pattes sur ta bien-aimée. Interdiction. Tu n’es pas violent, mais s’il y a bien une chose que tu ne supporterais pas, c’est qu’il la touche, et cela, peu importe la manière. Regard de tueur. Tu es glacial. Esprit concentré sur ton ami d’enfance. Pourtant, la voix de ta compagne te ramène à la réalité. Tu comprends à sa voix quelle ne rigole pas vraiment. Elle en a certainement ras-le-bol de votre cinéma. Bordel, on dirait un vieux couple qui se dispute, sauf qu’il n’y a que toi, Aoi qui a pris la parole tel un ouragan. Finalement, tes yeux se posent sur la demoiselle. Tu es désolé qu’elle ait le malheur d’observer cet épisode. Frustration. Taiga reprend la parole. Bien que la partie commence…

Ton regard doré retourne sur le boxeur. Quel bâtard ! Il ose sérieusement jouer à la victime. Tu n’es pas le méchant de l’histoire, n’est-ce pas ? Il t’a toujours traité comme un plan cul non ? Tu t’es trompé ? Non. C’est un manipulateur expert comme toi. Vous jouez dans la même cour, et cela, depuis un certain temps à présent. Il se fout de ta gueule, il veut t'humilier et faire douter la demoiselle. Qu’est-ce que vous faisiez de particulier ? Tu te rappelles des vieux souvenirs d’enfance. Les jeux, les rires, les pleurs et tout le reste. Vous étiez si proche et vous vous compreniez à la perfection. D’ailleurs, depuis votre première fois, ensemble, vous êtes encore plus inséparable non ? Oui ! Votre relation à légèrement changé et cela te plaisait… Connexion et lien inexplicable. Tu aimais tout, passant des moments intimes à quelque chose de plus tendre. Il n'y avait pas que du sexe entre vous deux, c'est vrai ! Baiser, rigolade, étreinte, mauvaise blague, amusement et j'en passe… Un ami spécial qui compte terriblement à tes yeux alors pourquoi il te fait souffrir à ce point. Masque, tu ne laisses rien paraître. Tu le laisses s’expliquer. Tu es le monstre de cette histoire ! Souffrance. La bonne blague. La vérité, c'est qu'il a couru après ton cul pendant longtemps… Il n’a jamais évoqué l’amour. Il est particulièrement possessif avec toi, mais c’est un trait de caractère qui émane de lui, même avec ses jouets… Ce n’est pas une preuve qu’il désirait davantage. Il ne ressentait pas qu’une attraction physique. Mensonge, tu n’arrives pas à le croire. Vérité ? Tu doutes.

Encore un mensonge de plus qui t'énerve. C’est faux, tu ne l’as jamais évité ! Tu as toujours répondu présent à tous ses appels…sauf peut-être deux mais tu n’étais même pas avec la belle. Tu ne te rappelles plus de la raison, mais cela devait vraiment être important, car quand c’est lui qui t’appelle, tu décroches toujours. Tu te plies en quatre pour ton unique ami. Est-ce qu'il faisait pareil pour toi ? Tu n'en sais rien. Colère. Tristesse. Poing se serrant contre ta volonté, seul indice indiquant ton ressenti, car évidemment, tu caches toutes tes émotions. Tu n’arrives même pas à rire face à cette pièce de théâtre. Douleur. Ton cœur saigne terriblement. Il t’aime ? Impossible. Il te manipule. Il est doué pour ce petit jeu. Il veut simplement te détruire et au passage potentiellement anéantir ton lien avec ta petite amie. Cruel. Il est monstrueux ! Il ne faut pas qu’elle croit un seul de ses mots… Tu veux la prévenir, mais tu n’arrives même pas à la regarder. Tu es beaucoup trop centré sur ton soi-disant ami qui essaye de te poignarder.

Vérité ou mensonge ? Tu ne cesses de ressasser ses mots en boucle. Pensif, tu analyses tous ses propos. Les secondes passent et tu n’as toujours pas réagi. Bordel, il se fout de ta gueule ! Quand est-ce que tu vas réagir. Et s’il t’aimait vraiment ? S’il ne l’avait tout simplement pas réalisé ? Et toi alors…qu’est-ce que tu ressens pour lui ? Tu n’en sais rien. Est-ce que tu aurais voulu d’une relation sérieuse avec Taiga ? Tu connais la réponse. Il y a un problème, le passé appartient au passé et il y a un magnifique futur qui t’attend sans oublier qu’il essaye de t’humilier, de te détruire et de te mentir… Il a complètement oublié de penser à toi et à tes sentiments. Il est toxique ! La seule chose que tu sais, c'est qu'il se trompe sur toute la ligne… Tu veux lui hurler qu'il a tort, que tu n'es pas l'homme qu'il décrit et qu'il n'était pas qu'un plan cul… il était beaucoup plus !  

"Tu n'as jamais été un plan cul à mes yeux. Tu as toujours été ma priorité, et cela, depuis notre enfance... Le seul et l'unique à être spécial à mes yeux !" Légère pause. Vérité découverte, avouée et comprise. "Deux coups de téléphone... j'étais en cours ou en examen...abruti !" Murmure à peine audible. Vérité compréhensible. Il devrait le savoir, l'avoir compris depuis plusieurs jours, semaines, mois ou encore années ! Pourtant... "Il n'y a plus rien ! " Brutalité. Voix sans aucune émotion. Visage impassible. Cœur refermé à double tour. Amour terminé avant même d'avoir l'occasion de voir la lumière du jour. Normal, ton rayon de soleil est à côté de toi. Cœur scellé et déjà destiné à une autre... Tu seras heureux avec elle ! Tu sais que ton cœur te dicte le meilleur choix. Éloigne-toi du poison qui est si précieux à tes yeux. Lien rompu à jamais ? Vraiment ? Es-tu réellement certain que tu y arriveras ? Espoir vain. Impossible, mais il le faut pour que tu puisses être l'ancien Aoi, celui qui sera comblé Hime. Tu l'aimes, tu ne veux pas la faire souffrir alors tu veux simplement dire adieu à ton passé avec le boxeur. Sincèrement, tu n'y arriveras pas... Tu l'aimes beaucoup trop pour le laisser de côté.

Bizarrement, ton corps se détend petit à petit. Il veut te faire passer pour le monstre, pour le connard de première alors tu vas assumer ce rôle jusqu'au bout. Après tout, tu sais très bien recaler les demoiselles qui te courent après non ? C'est simple. D'habitude, tu trouves les mots justes en ajoutant un petit sourire charmant, mais actuellement, ton visage est impassible voir un peu glacial tellement tu caches tes émotions. Au fond de toi, il y a de la tristesse et du dégoût avec un peu de colère. Mélange d'émotions négatives. Tu veux l'insulter, le frapper pour ses propos et son comportement, mais impossible. Tu n'es pas ce genre de monstre. Tu n'es pas comme ton père...

"Ne t'approche plus de nous..." Voix sérieuse. C'est la conclusion de ton cœur. C'est hilarant, car il loge à seulement deux chambres de toi, que vous allez à la même université, mais par chance, vous n'êtes pas dans le même cursus... Un dernier regard, un dernier regret et tu tournes les talons vers ta petite amie pour lui dire quelques mots. "Excuse-moi pour cette scène, pour mes mots maladroits, je ne voulais pas te blesser ou autre. Partons d'ici tu veux bien ?" Tu la regardes avec un sourire. Masque. Illusion. Manipulateur. Tu ne veux pas qu'elle s'inquiète à ton sujet. Tu ne veux pas qu'elle lise en toi, mais c'est déjà trop tard non ? Elle te connaît à présent. Tu as été terriblement sincère en t'adressant au diable. Tu ignores complètement Taiga et sa réaction ne t'inquiète pas, car elle ne t'intéresse même plus. Âme encore un peu plus brisée. Cœur un peu plus abîmé.

Tu déposes doucement ton tee-shirt sur ta nuque alors que tu commences à t'éloigner. Te rapprochant légèrement de la fontaine. Pensif. Souvenirs de ta rencontre avec Taiga remontant à la surface. Abruti de Taiga ! Est-ce la fin d'une amitié anormale ?

Aoi Tsuki
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Hime Watanabe
Ne m'approche pas j'ai de l'argent

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Ft. Aoi Tsuki & Taiga Serizawa
Déception. Tristesse. Colère. Doutes. Les émotions s’enchainent et se heurtent dans une mêlée infernale écrasant ton cœur fragile malgré la force de ton esprit. Silencieuse, telle une poupée, tu te contentes de subir les humeurs de ces deux diables, peu désireuse d’aggraver cette situation déjà bien tendue. Ce que c’est dur, Hime, de te retenir… De ne pas soupirer, serrer le poing. De ne pas cracher à la figure de cet individu qui te regarde comme le dernier morceau de viande haute gamme du rayon boucherie. Provocation. Sous-entendu qui rendrait presque jouissive l’idée de voir ce type avec ses mais entre les jambes, se tordant de douleur. Ça ne te ressemble pas, Hime, de penser ainsi. Mais ça te ressemble encore moins de rester indifférente face à la douleur de ceux que tu aimes. Et Aoi, il souffre. Il y a quelque chose de différent depuis que Taiga est arrivé, depuis que la tension a commencé à monter entre vous trois. Tu le sens au plus profond de ton être, cœur lié à cet homme auquel tu t’es offerte. Tu sauver les pots cassés, recoller les morceaux… Mais une autre part de toi a peur… Peur de ce poison toxique qui se repend autour des deux amants, telle une fumée insaisissable. Jamais tu n’avais vu autant d’égoïsme et de venin se confronter à tant de sensibilité… Sensibilité étouffée sous les masques, sous un manteau collant désormais à la peau. Ça te tue Hime, te brise, de voir ainsi quelqu’un comme Aoi se soucier autant d’un être aussi toxique vis-à-vis de lui… D’un prétendu ami, avec ce petit plus, qui est pourtant prêt à lui faire du mal… Tu n’es pas bête Hime et ton instinct hurle : Taiga est violent, capable du pire, et de jouir du malheur de celui qu’il ose qualifier d’ami. Ironie. Tu te souviens de cette nuit et de ce jour… De ces moments qui t’ont montré à quel point le père d’Aoi avait marqué son esprit et pourtant, quand tu vois Taiga… Tu te demanderais presque qui est le pire des deux.

Dégoût. Ses mots t’atteignent… Non pas que tu crois à ce petit jeu… Mais tu as le sentiment qu’il y a une part de vérité dans ce qui vient d’être dis… Et ça te fait nager dans l’incompréhension. Ce type n’a définitivement pas la même façon de penser que toi, de les ressentir… Si tenté est qu’il est capable de ressentir quelque chose. Vous n’avez pas les mêmes valeurs et tu lui en cherches. Méprisable. Que cherche-t-il à faire. Vous brisez, vous faire fuir l’autre. Nouvelle voix s’élevant. Tu écoutes ton petit-ami… Bon sang, s’il n’était pas aussi atteint… S’il ne pouvait pas tant souffrir, tu aurais ouvert ta magnifique bouche depuis bien longtemps et pas pour en faire sortir des paroles à la hauteur de ta beauté. Ta langue claque sur ton palais. 《 On dirait que le foutage de gueule est réciproque.》 Froide. Sans appels. Ironie. Taiga, c’est l’hôpital qui se fout de la charité. Message clair : il faudra plus que cette vérité pour te faire fuir.

Yeux bleus croisant ceux de ton petit-ami. Il y croit vraiment ? Il croit sincèrement que tu vas croire à son sourire ? Il devrait savoir que c’est inutile ; tu as déjà bien trop pénétré dans son cœur, dans son esprit, dans tout son être pour te laisser avoir. Ton regard trahit clairement ta pensée, ce mal que tu ressens au fond de toi face à cette situation, et tu sais qu’Aoi saura le déchiffrer. Tu ne cherches pas à lui cacher ce que tu ressens… Pas totalement du moins. 《 Bien.》 Parole brève mais assez douce. Tu lui emboîte le pas, jetant un dernier coup d’œil vers l’intrus par-dessus ton épaule. Tu as encore du boulot devant toi pour avoir ce que tu souhaites réellement au fond de toi…
 
© Belzébuth



Hime Watanabe
Il suffit d'un mot prononcé, d'une pensée dévoilée, d'un geste effectué pour provoquer un bordel monstre ! [PV Hime & Taiga] EmptyMar 19 Oct - 21:46



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Taiga Serizawa
Admin fou et sadique qui ne veut pas de ton bien

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feat. Hime Watanabe & Aoi Tsuki
Deux choix. L'un plus probable que l'autre. Et pourtant, on pourrait bien se demander au vu de tes paroles, du ton de ta voix et de ton comportement si c'est réellement le premier des choix. Un manipulateur né. On le sait tous, tu es quelqu'un de très vicieux. Tu cherches à te donner une image propre qui ne reflète pas du tout ton âme impur. Rien ne va dans ce que tu dis. Ce sont les paroles d'un doux agneau blessé et brisé. Quelqu'un avec un cœur pur. Mais, tu n'es pas un agneau Taiga. Tu es le vilain méchant loup.

Tu le vois à la tête d'Aoi. Il est indécis. Entre ce que tu dis actuellement et ce qu'il sait sur toi. Tu oublies que c'est ton ami d'enfance et qu'il te connait comme s'il t'avait fait. Pourtant, tu as voulu la jouer, cette dernière carte qui, comme tu l'imaginais, allait te le rendre. « Tu n'as jamais été un plan cul à mes yeux. Tu as toujours été ma priorité, et cela, depuis notre enfance... Le seul et l'unique à être spécial à mes yeux ! » Alors que tu aurais pu afficher un sourire satisfait et narquois, tu te contentes de le faire intérieurement, restant dans ta position de victime face à lui. Tu es fière de ses paroles. Tu le savais au fond que tu étais quelqu'un de spécial à ses yeux et c'est ce qui te fait sourire d'ailleurs. Tu aurais pu répliquer de nouveau et lui demander simplement ; « mais alors qu'est-ce que tu fous avec elle ? Laisse-la et rejoins moi » mais malheureusement, la suite ne risque pas d'être à ton goût.

Il n'y a plus rien. Brutalité. Violence. Un pincement. Il vient de frapper ton cœur d'un coup de massue. Une sensation que tu n'avais jamais ressentie auparavant. Il venait de te faire découvrir une nouvelle émotion. Le sentiment d'avoir été rejeté, abandonné. Un cœur fissuré par de simple mots. Alors c'est donc ça une peine de cœur ? C'est une douleur bien trop puissante, bien trop forte. Te casser la jambe c'est de la gaminerie à côté de ça. Il ne faut pas lui en vouloir, Taiga, tu es un monstre et c'est ainsi que l'on traite les montres. Ta sœur aînée te la souvent dit. Tu ne sais pas exprimé tes sentiments. Tu es dur et agressif. Un enfant capricieux qui joue avec son jouet. Sauf que tu l'as oublié. Tu n'as pas pris soin de ton jouet et à présent, il est entre les mains d'une enfant prête à le chérir du plus profond de son cœur. C'est malheureux.

Ton regard vide montre à quel point tu es frustré et confus de cette situation. Tu ne t'attendais réellement pas à cette descente aux enfers. Parce qu'au final Taiga, tu l'aimais bien ton Aoi. Bien plus que tu ne le pensais. Au fond, ce n'était pas uniquement qu'un plan cul, loin de là. Mais on ne le dira jamais assez. On se rend compte que l'on aime une personne, quand on l'a perdue. Cette citation que tu as trouvée sur les réseaux. Tu en riais. Mais elle te va tellement bien aujourd'hui. Tu la comprends parfaitement.

Alors que tu les vois finalement se rapprocher l'un de l'autre, un nouveau pincement ce fait ressentir dans le creux de ta poitrine. Un grincement de tes dents se fait entendre lorsque la demoiselle prend la parole. Quelle salope. Tu as cette envie de l'étriper sur place. De lui écraser sa petite tête de pimbêche sur le sol, qu'elle avale ses dents. Tu te contiens Taiga, parce que pour le moment, la personne que tu as dans ton viseur, c'est Aoi.

Ils s'éloignent alors que tu restes planter là. Comptes-tu vraiment laisser passer tout ça ? Rancunier jusqu'à la moelle. Tu vas lui faire payer. Il regrettera ses mots. Tu ne comptes plus les lâcher à présent. Ton seul but dans la vie était de t'amuser un maximum. Maintenant, tu désires détruire le monde entier. Tu t'avances vers eux alors qu'ils s'arrêtent près de la fontaine. Vitesse, rapidité, souplesse. Tu lèves ta jambe. Ton pied posé dans le dos du jeune brun. Un élan d'agressivité. Avec violence, brutalité, tu le pousses dans la fontaine à eau d'un coup de pied des plus puissants. Tu ne daignes même pas le regarder et viens poser ton regard noir sur la demoiselle. On peut le voir, tu es à la limite de l'étrangler, de la tuer. Pourtant, tu ne fais que lui afficher un sourire machiavélique. « On se retrouvera bientôt, petite perle. » Tu n'attends aucune réponse et reprend le chemin vers ton camarade qui t'attendait au loin, quittant le parc.

Au vu des circonstances. On espère que tu deviendras plus agréable avec les autres. Toi qui maintenant, sais ce que c'est que de se sentir rejeté, abandonné, délaissé. Mais au fond.. Ce connard t'a rendu bien plus méprisable qu'avant. Deux fois plus agressif. Deux fois plus violent. Deux fois plus méchant. Tu n'auras plus aucune pitié.

Taiga Serizawa
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